Les temps ont bien changé ma bonne dame, les Chnobottes ont disparu. Gérardmer info, Vosges Info recherchent désespérément une ou plusieurs paires de Chnobottes, déformation après guerre de snowboots amenées par les soldats américains. Les Chnobotttes, pour le coup en Vosgespatte dans le texte étaient des couvres chaussures afin de protéger le pied de la pluie et de la neige ou encore de la boue !
Si vous êtes en possession de telles antiquités, nous sommes intéressés pour la réalisation de photos de ces objets malheureusement disparus de la circulation. Les documents sont visiblement très rares. Vous pouvez nous joindre par mail : phj@vosgesinfo.fr
[caption id="attachment_117764" align="alignright" width="255"]seul document trouvé sur internet [/caption]
Les temps ont bien changé ma bonne dame, les Chnobottes ont disparu. Gérardmer info, Vosges Info recherchent désespérément une ou plusieurs paires de Chnobottes, déformation après guerre de snowboots amenées par les soldats américains. Les Chnobotttes, pour le coup en Vosgespatte dans le texte étaient des couvres chaussures afin de protéger le pied de la pluie et de la neige ou encore de la boue !
Si vous êtes en possession de telles antiquités, nous sommes intéressés pour la réalisation de photos de ces objets malheureusement disparus de la circulation. Les documents sont visiblement très rares. Vous pouvez nous joindre par mail : phj@vosgesinfo.fr
si mes souvenirs sont bons la photographie représente ce qu’on appelait « les caoutchoucs » qui n’emboitaient que la partie basse du chausson, alors que la « chnobotte » était montante et se fermait par un bouton-pression. Il en existait même en blanc pour les fillettes et les petits enfants.
vous avez entièrement raison ,madame Marion, chaussures montantes, ,caoutchoucs ,boutons à pression, je ne me souviens pas des patins dedans et pense que l’on mettait les chaussettes (re)tricotées par nos parents; on les mettait à cause de la »gadoue », bouillasse, neige fondante
et je conseille de consulter des vrais professionnels de la chaussure comme ceux de la maison MAURICE à Saulxures.
on se déchaussait dans les couloirs menant aux salles de classe et on enfilait des patins,pantoufles,chaussons, quand on ne mettait pas des « russes »!
PS:je suis né en 1946
en fait je cherchais l’orthographe de « chnobotte »comme vous l’écrivez. moi je pensais qu’on l’écrivait plutôt « Schnobotte »qui viendrait de « Schnee »la neige en allemand (en passant par l’alsacien?). qu’en pensez-vous? http://www.coplume.com
comme écrit dans le texte de Gerardmer info les snow-boots (en Amérique ) sont devenues les schnobottes dans les Vosges .
Sans doute avec l’aide de la Schnee de nos voisin .
Un bel exemple d’intégration !
j’en avais des vertes,montantes,avec la fermeture pression,et des des chaussons en laine fabriqués »maison,pendant les terribles hivers 54/56,pour aller à l’école(-20 pendants plusieurs jours)…1 kilomètre à pieds dans la neige à ETIVAL,on les rangeait devant le grillage qui entourait le fourneau(charbon/briquettes) au milieu de la salle de classe…école des garçons….
Idem ! j’en avais des blanches avec le bouton pression sur le côté et des chaussons montants à lacets en feutre. On les retirait en classe et on restait en chaussons sur le parquet en bois.
Nos vêtements séchaient autour du poêle à charbon.
A l’époque, mon école était derrière la mairie. J’ai vécu aussi l’hiver 54 et ce froid mordant. On avait des engelures et l’onglée… On était pas en sucre autrefois et nos parents n’avaient pas de voiture pour nous emmener à l’école. On marchait beaucoup par tous les temps… Malgré tout, de bien beaux souvenirs!
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les snow boots de couleur noire ou bleu foncée étaient fabriqués par la marque AIGLE au début des années 1950… je ne sais si cela vous aide
Pour l’instant non…merci. Y a bien une personne qui a ça au fond de sa cave ou grenier
J’ai connu ça à Plainfaing quand j’avais 6 ans en 1960 . Quels souvenirs !!!
si mes souvenirs sont bons la photographie représente ce qu’on appelait « les caoutchoucs » qui n’emboitaient que la partie basse du chausson, alors que la « chnobotte » était montante et se fermait par un bouton-pression. Il en existait même en blanc pour les fillettes et les petits enfants.
vous avez entièrement raison ,madame Marion, chaussures montantes, ,caoutchoucs ,boutons à pression, je ne me souviens pas des patins dedans et pense que l’on mettait les chaussettes (re)tricotées par nos parents; on les mettait à cause de la »gadoue », bouillasse, neige fondante
et je conseille de consulter des vrais professionnels de la chaussure comme ceux de la maison MAURICE à Saulxures.
on se déchaussait dans les couloirs menant aux salles de classe et on enfilait des patins,pantoufles,chaussons, quand on ne mettait pas des « russes »!
PS:je suis né en 1946
en fait je cherchais l’orthographe de « chnobotte »comme vous l’écrivez. moi je pensais qu’on l’écrivait plutôt « Schnobotte »qui viendrait de « Schnee »la neige en allemand (en passant par l’alsacien?). qu’en pensez-vous?
http://www.coplume.com
comme écrit dans le texte de Gerardmer info les snow-boots (en Amérique ) sont devenues les schnobottes dans les Vosges .
Sans doute avec l’aide de la Schnee de nos voisin .
Un bel exemple d’intégration !
j’en avais des vertes,montantes,avec la fermeture pression,et des des chaussons en laine fabriqués »maison,pendant les terribles hivers 54/56,pour aller à l’école(-20 pendants plusieurs jours)…1 kilomètre à pieds dans la neige à ETIVAL,on les rangeait devant le grillage qui entourait le fourneau(charbon/briquettes) au milieu de la salle de classe…école des garçons….
Idem ! j’en avais des blanches avec le bouton pression sur le côté et des chaussons montants à lacets en feutre. On les retirait en classe et on restait en chaussons sur le parquet en bois.
Nos vêtements séchaient autour du poêle à charbon.
A l’époque, mon école était derrière la mairie. J’ai vécu aussi l’hiver 54 et ce froid mordant. On avait des engelures et l’onglée… On était pas en sucre autrefois et nos parents n’avaient pas de voiture pour nous emmener à l’école. On marchait beaucoup par tous les temps… Malgré tout, de bien beaux souvenirs!
Souvenirs … souvenirs !