Chantal, qu’on appelle aussi Cantal avec un H aspiré est une romantique : une amoureuse de la nature. Elle aime les fleurs sauvages et son œil aiguisé a été attiré ce lundi matin par une tige végétale d’un vert plus clair « Non c’est pas possible » s’écrie-t-elle surprise par sa propre découverte. « Alain viens voir, c’est des jonquilles« . Fait et dit ce sont bien les premières narcisses sauvages qui pointent le bout de leur corolle en cette fin janvier. Incroyable mais vrai ! Normalement janvier est la période de l’année la plus froide avec février, mois pendant lesquelles les températures descendent largement en-dessous de zéro.
A quand le 14 juillet le 25 avril…
Chantal, qu'on appelle aussi Cantal avec un H aspiré est une romantique : une amoureuse de la nature. Elle aime les fleurs sauvages et son œil aiguisé a été attiré ce lundi matin par une tige végétale d'un vert plus clair " Non c'est pas possible" s'écrie-t-elle surprise par sa propre découverte. " Alain viens voir, c'est des jonquilles". Fait et dit ce sont bien les premières narcisses sauvages qui pointent le bout de leur corolle en cette fin janvier. Incroyable mais vrai ! Normalement janvier est la période de l'année la plus froide avec février, mois pendant lesquelles les températures descendent largement en-dessous de zéro.
A quand le 14 juillet le 25 avril...
7 réactions sur “Les jonquilles pointent déjà le bout de leur corolle”
LEROY jacques
Si l’on se réfère à la partie climatologie du livre de Xavier THIRIAT écrit en 1882 « GERARDMER ET SES ENVIRONS », en 1504/1505 l’hiver fut si doux qu’on trouvait des fraises mûres dans les haies en décembre et janvier comme plus tard pendant l’hiver 1852/1853. Peut être que l’histoire se répète…??
Tu en connais des choses jacky sur notre beau Gerardmer,tu te rappelles même des dates et des années , ç est vrai que ça surprend vraiment de voir des jonquilles en bouton à cette date ,j en aurai peut être un bouquet demain pour la sainte Martine bonne soiree et bisous Jacky
Si l’on se réfère à la partie climatologie du livre de Xavier THIRIAT écrit en 1882 « GERARDMER ET SES ENVIRONS », en 1504/1505 l’hiver fut si doux qu’on trouvait des fraises mûres dans les haies en décembre et janvier comme plus tard pendant l’hiver 1852/1853. Peut être que l’histoire se répète…??
Tu en connais des choses jacky sur notre beau Gerardmer,tu te rappelles même des dates et des années , ç est vrai que ça surprend vraiment de voir des jonquilles en bouton à cette date ,j en aurai peut être un bouquet demain pour la sainte Martine bonne soiree et bisous Jacky
Bonjour y a t’il des jonquilles a Gérardmer nous aimerions y venir lundi de pâques ??
Oui elles s’ouvrent
Mmmmh, ça commence tout doucement, mais ce sera peut-être un peu tôt…
Merci pour vos réponse ! Si il n’y a pas de jonquilles nous ferons une promenade autour du lac !
bonjour,
y a-t-il encore des jonquilles ?