Guerre d’Algérie – Gérardmer commémore le 60ème anniversaire du cessez-le-feuMoment de recueillement pour rappeler l’importance de la paix et le devoir de mémoire
Les premières notes de la Marseillaise qui retentissent à 11h15 ce samedi 19 mars sur la place du Monument aux Morts ont une sonorité particulière. Ces quelques notes de l’hymne national marquent le 60eme anniversaire de la commémoration du cessez-le-feu de la guerre d’Algérie, officiellement proclamé le 19 mars 1962.
Comme chaque année, ce moment de recueillement et de mémoire a débuté par un premier dépôt de gerbe effectué au pied de la stèle dédiée aux combattants d’Afrique du Nord, par les représentants des associations patriotiques. La cérémonie s’est ensuite poursuivie au pied du Monument aux Morts, où, en présence des anciens combattants et des élus, Marcel Bastien, le président de la FNACA , a lu le message national de Madame Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, chargée de la Mémoire et des Anciens combattants. Alain Morel, le président de l’ARAC a ensuite prononcé un discours afin de rappeler l’importance de la paix et de la mémoire de toutes les victimes qu’ont engendré les huit années de la guerre d’Algérie.
C’est enfin que les représentants des associations patriotiques, sont venus déposer une seconde gerbe de fleurs au pied du Monument aux Morts. Ils étaient accompagnés par Madame Anne Chwaliszewski, l’adjointe au Maire, Madame Élisabeth Klipfel, la conseillère départementale, les représentants de la gendarmerie et des pompiers ainsi que du jeune Aymé Lejeune, membre du Conseil Municipal des Jeunes. A la fin de la cérémonie, marquée par la minute de recueillement suivie de l’hymne national et d’une levée de drapeaux, le public c’est dispersé, car contrairement à la tradition, il n’y a pas eu de vin d’honneur donné à l’hôtel de ville cette année.
Les premières notes de la Marseillaise qui retentissent à 11h15 ce samedi 19 mars sur la place du Monument aux Morts ont une sonorité particulière. Ces quelques notes de l’hymne national marquent le 60eme anniversaire de la commémoration du cessez-le-feu de la guerre d’Algérie, officiellement proclamé le 19 mars 1962.
Comme chaque année, ce moment de recueillement et de mémoire a débuté par un premier dépôt de gerbe effectué au pied de la stèle dédiée aux combattants d’Afrique du Nord, par les représentants des associations patriotiques. La cérémonie s’est ensuite poursuivie au pied du Monument aux Morts, où, en présence des anciens combattants et des élus, Marcel Bastien, le président de la FNACA , a lu le message national de Madame Geneviève Darrieussecq, ministre déléguée auprès de la ministre des Armées, chargée de la Mémoire et des Anciens combattants. Alain Morel, le président de l’ARAC a ensuite prononcé un discours afin de rappeler l’importance de la paix et de la mémoire de toutes les victimes qu’ont engendré les huit années de la guerre d’Algérie.
C’est enfin que les représentants des associations patriotiques, sont venus déposer une seconde gerbe de fleurs au pied du Monument aux Morts. Ils étaient accompagnés par Madame Anne Chwaliszewski, l’adjointe au Maire, Madame Élisabeth Klipfel, la conseillère départementale, les représentants de la gendarmerie et des pompiers ainsi que du jeune Aymé Lejeune, membre du Conseil Municipal des Jeunes. A la fin de la cérémonie, marquée par la minute de recueillement suivie de l’hymne national et d’une levée de drapeaux, le public c’est dispersé, car contrairement à la tradition, il n’y a pas eu de vin d’honneur donné à l’hôtel de ville cette année.
[gallery type="rectangular" size="medium" link="file" ids="187173,187176,187175,187177,187178"]
4 réactions sur “Guerre d’Algérie – Gérardmer commémore le 60ème anniversaire du cessez-le-feu”
DAVID Michel
Bonjour,
Je pense qu’a l’avenir il faudra que les anciens d’A F N se cotisent pour faire venir une musique de l’extérieur;
En effet l’U M G devait être très occupée car la moindre des choses ce serait de déléguer un clairon pour les sonneries…..
Je respecte les sentiments et les opinions des anciens appelés combattants en algerie,mais en tant que pied noir d’une vieille famille modeste de français installés en Algérie vers 1850,je regrette vivement la célébration du 19 mars,jour de défaite pour la france et jour de disparition de notre communauté.
Le 19 mars est un jour de deuil pour les pied noirs et les harkis.
Mon presque homonyme voit un manque de respect là où je ne vois qu’expression libre et parfaitement digne.
Cette guerre m’a enlevé un parrain officier parachutiste, appelé et passionné de sport, et qui était un modèle pour mon âme d’enfant.
On peut comprendre que les harkis et les rapatriés d’Algérie aient de la réticence à commémorer ce sinistre jour du 19 mars.
La France est sans doute le seul pays du monde à célébrer une défaite.
Marque de tolérance absolue, ou haine de soi poussée à son paroxisme? A chacun de trancher
Bonjour,
Je pense qu’a l’avenir il faudra que les anciens d’A F N se cotisent pour faire venir une musique de l’extérieur;
En effet l’U M G devait être très occupée car la moindre des choses ce serait de déléguer un clairon pour les sonneries…..
DAVID Michel ( ancien d’A F N )
Je respecte les sentiments et les opinions des anciens appelés combattants en algerie,mais en tant que pied noir d’une vieille famille modeste de français installés en Algérie vers 1850,je regrette vivement la célébration du 19 mars,jour de défaite pour la france et jour de disparition de notre communauté.
Le 19 mars est un jour de deuil pour les pied noirs et les harkis.
Ces commentaires sont un manque de respect pour les 30 000 jeunes appelés qui ont combattus sous le drapeau Français et y ont perdu la vie.J’y étais
Mon presque homonyme voit un manque de respect là où je ne vois qu’expression libre et parfaitement digne.
Cette guerre m’a enlevé un parrain officier parachutiste, appelé et passionné de sport, et qui était un modèle pour mon âme d’enfant.
On peut comprendre que les harkis et les rapatriés d’Algérie aient de la réticence à commémorer ce sinistre jour du 19 mars.
La France est sans doute le seul pays du monde à célébrer une défaite.
Marque de tolérance absolue, ou haine de soi poussée à son paroxisme? A chacun de trancher