Nous apprenons le décès de Jacques Denis, surnommé « Pappy », survenu dimanche 22 mai à l’âge de 71 ans. Il était le petit fils de Madame Demangeon qui tenait la boulangerie du même nom en face de la mairie. Sa maman Yvonne a longtemps travaillé comme caissière au self service du Terminus. Après des études d’allemand, il a choisi de devenir objecteur de conscience pour des raisons philosophiques. Il a ensuite intégré les chèques postaux à Bobigny puis à Nancy. Il s’est énormément impliqué dans le syndicalisme, notamment à SUD PTT dont il était l’un des fondateurs. Par ailleurs, il était un fervent militant internationaliste, inlassablement au côté des luttes des peuples palestiniens et kurdes. Malade depuis quelques années, il a tenu jusqu’au bout à participer activement à tous les mouvements sociaux jusqu’à très récemment encore. Il nous laisse le souvenir d’un camarade particulièrement gentil, cultivé, qui entourait toutes celles et ceux qui le côtoyaient de son humour et de sa bienveillance. A sa compagne Francine, à tous ses proches, nous présentons nos condoléances.
Jacques Denis n’est plus
24 mai,2022La RédactionA la Une, Nécrologie3
3 réactions sur “Jacques Denis n’est plus”
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Que la paix soit avec toi cher Pappy, tu es un exemple de gentillesse, de générosité et d’amitié pour tous.
Nous avons passé toute notre enfance ensemble, quarttier de la Mairie où j’habitais.. La cour le l’ancienne école maternelle,le grenier ou le salon de Mme Demangeon étaient nos terrains de jeux à Jacques, Pierrot, Bernard,Christian aux vacances. Salut l’ami, et toutes mes pensées à ton épouse et ta famille. Jean-Louis
Nous en avons passé du temps à refaire le monde, autour d’un bock, chez Bichon, ou d’une côte de bœuf au « Val des Jonquilles »… Et qu’est-ce qu’on a rigolé.
Mon cher Pappy cela faisait bien longtemps que l’on ne s’était pas croisés. 30 ans, peu-t-être plus, mais je ne t’ai jamais oublié.
Tu étais une belle personne, avec des convictions chevillées au corps, assoiffé de justice sociale.
A tes proches, toutes mes pensées et mes plus sincères condoléances.
Le p’tit Labèche (comme tu m’appelais)