SUITE AU SUICIDE DE LUCAS, LE SÉNATEUR JEAN HINGRAYINTERPELLELEMINISTREPAPNDIAYESURLEHARCÈLEMENTSCOLAIREETL’HOMOPHOBIE
Profondément touché par l’histoire de Lucas,Jean Hingray a interpellé une fois de plus leministresurle harcèlementscolaire lorsde la séance publique du 18 janvier2023.
En 2021, Jean Hingray avait interpellé leministre, au sujet des messages haineuxet violents qui pullulaient sur les réseauxsociauxàl’encontredes6e.Danssaréponse,leministèreaindiquél’importance du programme pHare (plandepréventionduharcèlementàdestination des écoles et des collèges),quis’estdéveloppéprogressivementdanslesacadémies.LeprogrammepHare était pourtant développé dans lecollègeoùlejeuneLucassubissaitunharcèlementacharné.Ennovembre
dernier,le ministre avait indiqué d’excellents résultats là où il avait été mis en place. Lorsde la séance publique de mercredi, Jean Hingray a demandé au ministre d’indiquerprécisémentles résultats auxquels ilfaisaitallusion.
Notre système éducatif ne réagit pas comme il le faudrait. Il est primordial de s’interrogersur les moyens mis en œuvre, tout comme sur le cyberharcèlement et l’efficacité du pôlede lutte. Le dernier rapport d’information du Sénat fait un état des lieux alarmant: 6% à10% des élèves subissent une forme de harcèlement au cours de leur scolarité. Celareprésente un total de 800 000 allant jusqu’à 1 000 000 d’enfants qui seraient victimes deharcèlement – si ce n’est plus. Un quart des victimes de harcèlement ont songé au suicide.En 2021,22 enfants ontmis fin à leursjoursà cause du harcèlementqu’ils subissent.
SUITE AU SUICIDE DE LUCAS, LE SÉNATEUR JEAN HINGRAYINTERPELLELEMINISTREPAPNDIAYESURLEHARCÈLEMENTSCOLAIREETL’HOMOPHOBIE
Profondément touché par l’histoire de Lucas,Jean Hingray a interpellé une fois de plus leministresurle harcèlementscolaire lorsde la séance publique du 18 janvier2023.
En 2021, Jean Hingray avait interpellé leministre, au sujet des messages haineuxet violents qui pullulaient sur les réseauxsociauxàl’encontredes6e.Danssaréponse,leministèreaindiquél’importance du programme pHare (plandepréventionduharcèlementàdestination des écoles et des collèges),quis’estdéveloppéprogressivementdanslesacadémies.LeprogrammepHare était pourtant développé dans lecollègeoùlejeuneLucassubissaitunharcèlementacharné.Ennovembre
dernier,le ministre avait indiqué d’excellents résultats là où il avait été mis en place. Lorsde la séance publique de mercredi, Jean Hingray a demandé au ministre d’indiquerprécisémentles résultats auxquels ilfaisaitallusion.
Notre système éducatif ne réagit pas comme il le faudrait. Il est primordial de s'interrogersur les moyens mis en œuvre, tout comme sur le cyberharcèlement et l'efficacité du pôlede lutte. Le dernier rapport d’information du Sénat fait un état des lieux alarmant: 6% à10% des élèves subissent une forme de harcèlement au cours de leur scolarité. Celareprésente un total de 800 000 allant jusqu’à 1 000 000 d’enfants qui seraient victimes deharcèlement - si ce n’est plus. Un quart des victimes de harcèlement ont songé au suicide.En 2021,22 enfants ontmis fin à leursjoursà cause du harcèlementqu’ils subissent.
2 réactions sur “Le Sénateur J. Hingray interpelle le Ministre Pap Ndiaye sur le harcèlement scolaire et l’homophobie”
Francis Haxaire
Des gesticulations verbales pour prouver qu’on existe mais qui ne servent aucune cause. Regardez l’entourage sur la photo : tous les sénateurs somnolent ou s’ennuient, parfois les 2. Belle représentation nationale ; diviser le nombre de parlementaires par 2 !
Belle imagination.
Que les parlementaires soient beaucoup trop nombreux certes.
D’autant qu’ils ne servent plus à grand chose depuis que nous sommes sous le diktat de l’UE, le tout sous l’égide du grand maitre allemand.
Mais sur le cliché je n’en vois guère somnoler
Des gesticulations verbales pour prouver qu’on existe mais qui ne servent aucune cause. Regardez l’entourage sur la photo : tous les sénateurs somnolent ou s’ennuient, parfois les 2. Belle représentation nationale ; diviser le nombre de parlementaires par 2 !
Belle imagination.
Que les parlementaires soient beaucoup trop nombreux certes.
D’autant qu’ils ne servent plus à grand chose depuis que nous sommes sous le diktat de l’UE, le tout sous l’égide du grand maitre allemand.
Mais sur le cliché je n’en vois guère somnoler