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mercredi 6 déc 2023
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Deux suppressions de poste à Granges-Aumontzey : plus d’élèves, moins d’enseignants Une décision qui va à l'encontre de la "résilience" de la commune

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Parents d'élèves et enseignants s'étaient pourtant mobiliser en début d'année à l'annonce de ces deux suppressions de poste.

Parents d’élèves et enseignants s’étaient pourtant mobilisés en début d’année à l’annonce de ces deux suppressions de poste.

La première adjointe au maire de Granges-Aumontzey a profité de l’inauguration des travaux d’extension et de mise aux normes du gymnase Camille Liévaux, situé juste derrière l’école maternelle, afin d’évoquer la suppression de deux postes à la rentrée de septembre. Suppression d’autant plus difficile à accepter qu’elle semble à contre-courant de la dynamique de la commune.

En effet, comme cela avait été annoncé en cours d’année scolaire dernière et comme l’a précisé Corinne Mourot, un poste de titulaire remplaçant et un poste d’enseignant ont été supprimés à Granges-Aumontzey. Le hic, c’est que depuis quelques années, la commune accueille régulièrement de nouveaux couples avec enfants et voit donc logiquement ses effectifs grandir. Ils étaient ainsi 13 écoliers supplémentaires en primaires/maternelles à la rentrée de septembre, et ce n’est sans doute pas prêt de s’arrêter : « Nous avons à nouveau vendus des terrains à des couples qui souhaitaient s’installer, preuve de notre résilience » précisait Frédéric Thomas, maire de Granges-Aumontzey.

Et pourtant, en dépit de ce contexte et de cette « résilience » , 2 postes ont bien été supprimés. « La plupart de nos classes sont désormais à deux niveaux. (…) Nous avons pourtant des parents d’élèves dynamiques et qui nous soutiennent, une municipalité qui nous soutient et les communes voisines qui nous soutiennent également. Nous allons donc à nouveau nous battre pour qu’un poste soit créé l’an prochain » déclarait Corinne Mourot dont l’intervention a été salué par l’ensemble des personnes présentes.

[caption id="attachment_201176" align="aligncenter" width="340"]Parents d'élèves et enseignants s'étaient pourtant mobiliser en début d'année à l'annonce de ces deux suppressions de poste. Parents d'élèves et enseignants s'étaient pourtant mobilisés en début d'année à l'annonce de ces deux suppressions de poste.[/caption] La première adjointe au maire de Granges-Aumontzey a profité de l'inauguration des travaux d'extension et de mise aux normes du gymnase Camille Liévaux, situé juste derrière l'école maternelle, afin d'évoquer la suppression de deux postes à la rentrée de septembre. Suppression d'autant plus difficile à accepter qu'elle semble à contre-courant de la dynamique de la commune. En effet, comme cela avait été annoncé en cours d'année scolaire dernière et comme l'a précisé Corinne Mourot, un poste de titulaire remplaçant et un poste d'enseignant ont été supprimés à Granges-Aumontzey. Le hic, c'est que depuis quelques années, la commune accueille régulièrement de nouveaux couples avec enfants et voit donc logiquement ses effectifs grandir. Ils étaient ainsi 13 écoliers supplémentaires en primaires/maternelles à la rentrée de septembre, et ce n'est sans doute pas prêt de s'arrêter : "Nous avons à nouveau vendus des terrains à des couples qui souhaitaient s'installer, preuve de notre résilience" précisait Frédéric Thomas, maire de Granges-Aumontzey. Et pourtant, en dépit de ce contexte et de cette "résilience" , 2 postes ont bien été supprimés. "La plupart de nos classes sont désormais à deux niveaux. (...) Nous avons pourtant des parents d'élèves dynamiques et qui nous soutiennent, une municipalité qui nous soutient et les communes voisines qui nous soutiennent également. Nous allons donc à nouveau nous battre pour qu'un poste soit créé l'an prochain" déclarait Corinne Mourot dont l'intervention a été salué par l'ensemble des personnes présentes.



Une réaction sur “Deux suppressions de poste à Granges-Aumontzey : plus d’élèves, moins d’enseignants

  1. Pas si bête

    Les doubles classe sont simplement désastreuses pour les enfants, dans les conditions actuel, ça ne se pratique plu comme à l’époque quand l’institution était passionné et avait le temps de bien faire…
    Il n’y plu de place pour les imprévus, les  »au cas ou  », les vaut mieux prévenir que guérir…

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